Publié par Tophe
Dès la mise en place du projet, Vincent et moi avions une idée commune: trouver un "fil rouge" sur lequel axer notre voyage. Mais pourquoi donc avoir besoin d'un fil rouge, me demanderez vous? L'idée, c'est de ne pas avoir l'impression de seulement enchaîner les activités de tourisme et les pays, mais aussi d'avoir des objectifs et de casser le rythme à l'occasion!
Tous les 2 très sensibilisés par l'environnement et attachés aux grands espaces, ce voyage se voudra trés "nature". En effet, nous avons l'intention de ne pas visiter uniquement que les villes, mais de découvrir les pays sur leur aspect rural et sauvage, en effectuant notamment des treks dés que l'occasion se présente.
Au niveau environnemental, nous avons plusieurs projets parsemés dans notre voyage qui nous tiennent à cœur:
- Ecovolontariat en Thaïlande: L'écovolontariat, c'est le fait de donner de son temps et de son énergie à un projet à vocation écologique pendant une ou plusieurs semaines. L'écovolontaire donne en plus une contribution financière au projet auquel il participe. (Cela peut surprendre, mais ça permet à ce type de projets d'avoir les ressources pour tout simplement exister)
Dans notre cas, nous allons donc passer 6 semaines dans un sanctuaire d'éléphants en Thaïlande, qui permet d'éviter à d'anciens éléphants domestiques de finir par mendier dans les villes, et souvent de périr dans des accidents de la route. 6 semaines à s'occuper d'éléphants? Ca nous fait rêver d'avance!
- Le Wwoofing: Derrière ce joli nom barbare se cache une association internationale de soutien aux fermes biologiques.
En effet, faire du Wwoofing consiste à apporter son aide dans une de ces fermes pendant un certain temps, en partageant le quotidien de la famille qui s'en occupe. Logé, nourri, en travaillant bénévolement, c'est l'occasion de faire de belles rencontres tout en se sentant un peu utiles. Nous projetons donc effectuer du Wwoofing dans des pays comme le Népal ou le Cambodge.
En plus de ces projets, notre objectif est d'essayer de voyager en minimisant le plus possible notre "empreinte environnementale":
- Les transports: C'est toujours dur à entendre pour qui aime voyager, mais l'avion est un des moyens de transport les plus polluants. Pour diminuer notre impact, nous allons limiter autant que possible les trajets en avion et favoriser au maximum les transports en communs locaux (trains, bus, bateaux). Nous ne prendrons celui ci que sur les très grandes distances et quand la situation géopolitique l'impose (passage de l'Afghanistan/Pakistan, Birmanie).
Quand l'avion sera incontournable, nous allons compenser les vols effectués en passant par une association (type "action carbone"). Ces associations permettent en effet de calculer "l'équivalent CO2" rejeté pendant le vol pour estimer un montant correspondant à ce qu'il faudrait pour "neutraliser" ces émissions. Ces associations financent ensuite des projets de reforestation, de développement de technologies "propres" dans les pays en développement,...
- La gestion de l'eau: Comme n'importe quel médecin du voyage vous le dira, on ne peut pas boire l'eau courante trouvée dans la plupart des pays où nous allons passer, celle ci risquant de contenir virus, parasites, ou autres éléments hautement détestables pour la bonne marche de
notre cher système digestif. La solution généralement indiquée est de boire de l'eau en bouteille. Cependant, pour un an, nous ne voulons pas augmenter les montagnes de bouteilles non recyclées dans les dépotoirs des pays où nous allons passer, surtout dans certains pays où cela constitue un grand problème, comme au Népal. Nous allons donc essayer d'éviter celles ci en traitant le plus souvent possible notre eau de boisson, avec l'aide d'un Steripen, un appareil à piles rechargeable effectuant un traitement de l'eau par le biais d'UVs, méthode reconnue comme efficace et inoffensive à long terme.
Plus que 3 semaines avant le départ!!! On y est presque!
Dès la mise en place du projet, Vincent et moi avions une idée commune: trouver un "fil rouge" sur lequel axer notre voyage. Mais pourquoi donc avoir besoin d'un fil rouge, me demanderez vous? L'idée, c'est de ne pas avoir l'impression de seulement enchaîner les activités de tourisme et les pays, mais aussi d'avoir des objectifs et de casser le rythme à l'occasion!
Tous les 2 très sensibilisés par l'environnement et attachés aux grands espaces, ce voyage se voudra trés "nature". En effet, nous avons l'intention de ne pas visiter uniquement que les villes, mais de découvrir les pays sur leur aspect rural et sauvage, en effectuant notamment des treks dés que l'occasion se présente.
Au niveau environnemental, nous avons plusieurs projets parsemés dans notre voyage qui nous tiennent à cœur:
- Ecovolontariat en Thaïlande: L'écovolontariat, c'est le fait de donner de son temps et de son énergie à un projet à vocation écologique pendant une ou plusieurs semaines. L'écovolontaire donne en plus une contribution financière au projet auquel il participe. (Cela peut surprendre, mais ça permet à ce type de projets d'avoir les ressources pour tout simplement exister)
Dans notre cas, nous allons donc passer 6 semaines dans un sanctuaire d'éléphants en Thaïlande, qui permet d'éviter à d'anciens éléphants domestiques de finir par mendier dans les villes, et souvent de périr dans des accidents de la route. 6 semaines à s'occuper d'éléphants? Ca nous fait rêver d'avance!
- Le Wwoofing: Derrière ce joli nom barbare se cache une association internationale de soutien aux fermes biologiques.
En effet, faire du Wwoofing consiste à apporter son aide dans une de ces fermes pendant un certain temps, en partageant le quotidien de la famille qui s'en occupe. Logé, nourri, en travaillant bénévolement, c'est l'occasion de faire de belles rencontres tout en se sentant un peu utiles. Nous projetons donc effectuer du Wwoofing dans des pays comme le Népal ou le Cambodge.
En plus de ces projets, notre objectif est d'essayer de voyager en minimisant le plus possible notre "empreinte environnementale":
- Les transports: C'est toujours dur à entendre pour qui aime voyager, mais l'avion est un des moyens de transport les plus polluants. Pour diminuer notre impact, nous allons limiter autant que possible les trajets en avion et favoriser au maximum les transports en communs locaux (trains, bus, bateaux). Nous ne prendrons celui ci que sur les très grandes distances et quand la situation géopolitique l'impose (passage de l'Afghanistan/Pakistan, Birmanie).
Quand l'avion sera incontournable, nous allons compenser les vols effectués en passant par une association (type "action carbone"). Ces associations permettent en effet de calculer "l'équivalent CO2" rejeté pendant le vol pour estimer un montant correspondant à ce qu'il faudrait pour "neutraliser" ces émissions. Ces associations financent ensuite des projets de reforestation, de développement de technologies "propres" dans les pays en développement,...
- La gestion de l'eau: Comme n'importe quel médecin du voyage vous le dira, on ne peut pas boire l'eau courante trouvée dans la plupart des pays où nous allons passer, celle ci risquant de contenir virus, parasites, ou autres éléments hautement détestables pour la bonne marche de
notre cher système digestif. La solution généralement indiquée est de boire de l'eau en bouteille. Cependant, pour un an, nous ne voulons pas augmenter les montagnes de bouteilles non recyclées dans les dépotoirs des pays où nous allons passer, surtout dans certains pays où cela constitue un grand problème, comme au Népal. Nous allons donc essayer d'éviter celles ci en traitant le plus souvent possible notre eau de boisson, avec l'aide d'un Steripen, un appareil à piles rechargeable effectuant un traitement de l'eau par le biais d'UVs, méthode reconnue comme efficace et inoffensive à long terme.
Plus que 3 semaines avant le départ!!! On y est presque!